Arthrose du coude : comprendre les symptômes, le diagnostic et les traitements disponibles

Charles Bijon • 10 avril 2025

L’arthrose du coude est une affection articulaire dégénérative qui se manifeste par une usure progressive du cartilage recouvrant les surfaces osseuses de l’articulation huméro-ulnaire. Bien que cette articulation soit moins fréquemment atteinte que la hanche ou le genou, l’arthrose du coude peut devenir invalidante lorsqu’elle évolue, en particulier chez les personnes exposées à des gestes répétitifs ou à des traumatismes répétés. Elle touche aussi bien les sportifs que certaines professions manuelles ou les patients ayant un antécédent de traumatisme.

Symptômes de l’arthrose du coude

Les premiers signes apparaissent généralement de façon progressive. Il s’agit le plus souvent de :

  • Douleurs articulaires localisées au niveau du coude, aggravées par l’activité et soulagées au repos.
  • Raideur lors des mouvements, notamment à l’extension ou à la flexion complète.
  • Perte de mobilité, rendant difficiles certaines activités quotidiennes ou professionnelles.
  • Craquements (ou crépitements) perceptibles à la mobilisation du coude.
  • Sensation de blocage ou de gêne mécanique, notamment en cas de présence d’ostéophytes (excroissances osseuses).
  • Gonflement articulaire lié à un épanchement de synovie dans les cas plus avancés.
  • Parfois, une diminution de la force peut également être ressentie.

Ces symptômes peuvent varier en intensité selon le stade de la maladie et l’activité du patient.



Quelles sont les causes possibles ?

L’arthrose du coude est généralement secondaire. Elle peut faire suite à :

  • Des traumatismes anciens : fractures intra-articulaires, luxations, lésions ligamentaires.
  • Des microtraumatismes répétés, notamment dans les activités manuelles ou sportives (tennis, musculation, métiers du bâtiment).
  • Une instabilité articulaire chronique, souvent non traitée.
  • Des pathologies inflammatoires chroniques, comme la polyarthrite rhumatoïde ou d’autres formes de rhumatismes inflammatoires.

Chez certains patients, aucune cause précise n’est retrouvée : on parle alors d’arthrose primitive. Des facteurs génétiques ou un vieillissement naturel de l’articulation peuvent être impliqués.

Diagnostic

Le diagnostic repose sur l’examen clinique, qui permet d’évaluer la douleur, la mobilité, la stabilité et la force. Il est complété par des examens d’imagerie :

  • Une radiographie standard met en évidence l’usure du cartilage, la réduction de l’interligne articulaire, la présence d’ostéophytes, de géodes ou d’irrégularités osseuses.
  • Une IRM ou un scanner permettent d’analyser plus finement l’état du cartilage, des tendons et de la capsule articulaire. Ces examens sont utiles pour évaluer la sévérité de l’atteinte, rechercher un conflit mécanique ou planifier une intervention chirurgicale.

Un bilan fonctionnel peut être proposé pour estimer l’impact de la pathologie sur les gestes quotidiens et l’activité professionnelle.


Traitements disponibles

Approche conservatrice

Le traitement initial est non chirurgical, notamment pour les formes débutantes à modérées. Il comprend :

  • Adaptation des activités : réduction des efforts répétitifs ou des charges lourdes sollicitant le coude, notamment au travail ou lors du sport.
  • Médicaments antalgiques et anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en cure courte.
  • Infiltrations intra-articulaires (corticoïdes ou acide hyaluronique), en cas de poussée douloureuse ou d’épanchement articulaire.
  • Rééducation fonctionnelle : travail de la mobilité articulaire, renforcement musculaire, amélioration de la proprioception et assouplissement capsulaire.
  • Port ponctuel d’une attelle ou d’une orthèse pour soulager l’articulation en période de crise, en limitant les mouvements extrêmes.

Ces mesures permettent de stabiliser les symptômes dans de nombreux cas et de ralentir l’évolution de la maladie.


Traitement chirurgical

Lorsque la gêne devient significative et que les traitements conservateurs ne sont plus efficaces, la chirurgie peut être envisagée. Plusieurs options sont possibles :

  • Arthroscopie du coude : technique mini-invasive permettant de retirer les corps étrangers, les ostéophytes et de nettoyer l’articulation (débridement). Elle améliore la mobilité et soulage les douleurs mécaniques. Cette intervention est indiquée en cas de blocages ou de douleurs résistantes au traitement médical.
  • Prothèse totale du coude : réservée aux cas d’arthrose très avancée et invalidante, notamment chez les patients âgés et sédentaires. Elle remplace totalement l’articulation détruite et permet de restaurer une fonction correcte. La pose de prothèse nécessite un suivi post-opératoire rigoureux.

La décision chirurgicale est prise en fonction de l’âge, du niveau d’activité du patient, de la sévérité de l’atteinte et de ses attentes fonctionnelles. Elle fait toujours l’objet d’une discussion partagée avec le patient.



Complications possibles

En l’absence de traitement ou en cas d’évolution prolongée, l’arthrose du coude peut entraîner :

  • Une raideur articulaire sévère, limitant les gestes quotidiens et l’autonomie.
  • Une douleur chronique persistante, altérant la qualité de vie.
  • Une compression nerveuse, notamment du nerf ulnaire, avec apparition de fourmillements, perte de sensibilité et perte de force dans la main.
  • Une atrophie musculaire liée à la non-utilisation du bras.
  • Un handicap fonctionnel durable, en particulier chez les patients actifs.

Certaines complications peuvent aussi résulter des interventions chirurgicales, notamment une raideur post-opératoire si la rééducation n’est pas correctement suivie.


Conclusion

L’arthrose du coude est une pathologie évolutive qui, bien qu’assez rare, peut devenir particulièrement gênante si elle n’est pas prise en charge. Une prise en charge précoce et adaptée permet d’atténuer les symptômes, de ralentir l’évolution et de maintenir une bonne qualité de vie. En cas de douleur persistante, de perte de mobilité ou d’impact fonctionnel, une consultation avec le Dr Charles Bijon est recommandée afin d’établir un diagnostic précis et d’envisager les solutions thérapeutiques les plus appropriées.

par Charles Bijon 27 mars 2025
L'utilisation intensive des smartphones est devenue incontournable dans notre quotidien. Pourtant, la répétition de certains gestes et les postures prolongées peuvent entraîner des douleurs et des troubles musculo-squelettiques au niveau de la main et du poignet . Découvrez les pathologies les plus courantes associées à l’usage du smartphone, leurs causes, et les moyens de prévention pour protéger ses mains. Les pathologies de la main causées par l'utilisation du smartphone L’usage intensif du smartphone sollicite fortement les tendons , les nerfs et les articulations de la main et du poignet. Certaines pathologies peuvent apparaître avec le temps. La tendinite des fléchisseurs et extenseurs des doigts Les tendons fléchisseurs et extenseurs des doigts sont mis à rude épreuve lors de l’utilisation prolongée d’un smartphone. Le mouvement répétitif de taper sur l’écran ou de scroller peut provoquer une inflammation tendineuse. Cette douleur est souvent ressentie à la base des doigts ou sur la face dorsale de la main. La tendinite de De Quervain Il s'agit d'une inflammation de la gaine synoviale des tendons du pouce . Elle est fréquente chez les personnes qui utilisent intensément leur pouce pour envoyer des messages ou naviguer sur un écran tactile. Elle se manifeste par une douleur sur le côté du poignet, parfois accompagnée d'un gonflement. Le syndrome du canal carpien L’appui prolongé du poignet sur une surface dure ou une posture statique prolongée peut comprimer le nerf médian, situé à l’intérieur du poignet. Cela peut provoquer des fourmillements, des engourdissements et une perte de force dans les doigts. En savoir plus sur le syndrome du canal carpien . L'arthrose précoce du pouce (rhizarthrose) Bien que le smartphone ne soit pas directement responsable de l'arthrose, une utilisation excessive du pouce peut accélérer son usure articulaire, notamment au niveau de l’articulation trapézo-métacarpienne. Les causes des douleurs liées à l'utilisation du smartphone L'usage prolongé du smartphone sollicite de façon inhabituelle les structures de la main. Plusieurs mécanismes expliquent l'apparition des douleurs : Mouvements répétitifs : l'envoi de messages et le scrolling sollicitent de manière excessive les tendons. Postures prolongées : tenir son smartphone dans une position figée maintient les muscles en contraction statique, favorisant la fatigue musculaire. Mauvaise ergonomie : l'utilisation d'un smartphone trop grand ou trop lourd augmente les contraintes sur les articulations. Pression excessive sur le poignet : le fait de poser le poignet sur une surface dure peut comprimer les nerfs et affecter la circulation sanguine.
par Charles Bijon 12 mars 2025
La rhizarthrose , ou arthrose de la base du pouce , est une pathologie qui passe souvent inaperçue au début mais qui peut devenir invalidante avec le temps. Ce type d’arthrose affecte l’articulation trapézo-métacarpienne , située entre le premier métacarpien et l’os trapèze, impactant directement la mobilité et la force de la main. A quel moment faut-il s’inquiéter ? Quels sont les signes qui doivent alerter et quelles solutions existent pour limiter son évolution ? Comprendre la rhizarthrose : pourquoi cette articulation est-elle si vulnérable ? L’articulation trapézo-métacarpienne est sollicitée en permanence dans notre quotidien. Pincer, attraper un objet, tourner une clé, ouvrir une bouteille … toutes ces actions mobilisent le pouce et exercent des contraintes importantes sur l’articulation. Avec le temps, le cartilage s’use et la rhizarthrose s’installe. Cette pathologie touche davantage les femmes après 50 ans , mais peut également apparaître chez des personnes plus jeunes, notamment chez celles qui sollicitent énormément leurs mains dans un cadre professionnel (couturiers, coiffeurs, musiciens, artisans, etc.). Les premiers signes de la rhizarthrose La rhizarthrose s’installe progressivement et commence souvent par une simple gêne. Mais certains symptômes doivent alerter : Douleurs à la base du pouce : elles apparaissent d’abord lors de certains mouvements précis, puis deviennent plus fréquentes et surviennent même au repos. Perte de force : ouvrir un bocal, tenir un objet fermement ou simplement tourner une clé devient plus difficile. Raideur matinale : au réveil, l’articulation semble bloquée et met du temps à retrouver sa souplesse. Déformation du pouce : dans les formes avancées, le pouce peut prendre une position anormale, avec une bosse visible à la base.
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L’escalade est une discipline qui sollicite intensément les muscles, les tendons et les articulations des mains. Cette activité peut provoquer diverses pathologies, en particulier chez les pratiquants réguliers ou les sportifs de haut niveau. Il est essentiel de connaître les principaux troubles, leurs causes, ainsi que les moyens de prévention et de traitement. Anatomie des tendons fléchisseurs de la main Les tendons fléchisseurs des doigts proviennent des muscles fléchisseurs situés dans l'avant-bras. Ils traversent le poignet via le canal carpien pour atteindre les doigts. Ils sont au nombre de deux pour les doigts longs et unique pour le pouce. Les tendons traversent le canal carpien pour ensuite se répartir sur les doigts. Ils cheminent alors dans le canal digital formés par les poulies digitales. Tendon fléchisseur Fléchisseur superficiel des doigts (FSD) dont la fonction est de fléchir l’articulation interphalangienne proximale (IPP) et la métacarpo-phalangienne (MCP). Fléchisseur profond des doigts (FPD) dont la fonction est de fléchir l’articulation interphalangienne distale (IPD), l’IPP et la MCP. Long fléchisseur du pouce - LFP) dont la fonction est de fléchir l’articulation interphalangienne du pouce. Les poulies digitales Les tendons fléchisseurs sont maintenus contre les phalanges et les articulations par un système de poulies fibreuses qui optimisent leur fonction et préviennent les phénomènes de "corde d’arc". On distingues les poulies annulaires dont les plus importantes sont les poulies A2 et A4, des poulies cruciformes dont la fonction est moins importante. Rappel des différents types de préhension utilisées en escalade La préhension ouverte (open grip) Dans ce type de préhension, les articulations des doigts longs sont en flexion plus ou moins marquées. 3 ou 4 doigts sont généralement utilisés. Le pouce ne joue pas de rôle dans cette prise. Il existe différentes variantes en fonction du type de prise de roche à saisir.
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L'épaule est l'une des articulations les plus mobiles du corps humain, mais cette mobilité peut la rendre vulnérable à des problèmes de stabilité. L'instabilité de l'épaule est une pathologie courante, particulièrement chez les personnes actives et les sportifs. Comprendre ses causes, ses symptômes et les options de traitement est essentiel pour une prise en charge efficace. Qu’est-ce que l'instabilité de l'épaule ? L’ instabilité de l’épaule correspond à un déplacement anormal ou une luxation partielle ou totale de la tête de l’humérus par rapport à la cavité glénoïde. Il est important de distinguer l’instabilité aiguë (on parle alors de premier épisode de luxation d’épaule) non abordé dans ce chapitre, de l’instabilité chronique (plus de deux épisodes de luxation). Cette instabilité peut se manifester de plusieurs manières : Véritables épisodes de luxations récidivantes avec nécessité de remettre l’épaule en place Sensation d'appréhension douloureuse ou de déboitement par des phénomènes de subluxation de l’épaule Les causes de l’instabilité chronique de l’épaule Il existe des différents type d’instabilité en fonction du sens de la luxation : Antérieure : D’origine traumatique. Il s’agit des instabilités les plus fréquentes, correspondant environ à 95 % des instabilités. Les luxations antérieures vont entraîner des lésions ligamentaires et du bourrelet glénoïdien antérieur, appelé lésion de Bankart. Il peut s’y associer des lésions de passages de la partie antérieure de la glène et de la partie postérieure de la tête humérale. Cette lésion osseuse de la partie postérieure de la tête humérale est appelée une encoche de Malgaigne. Postérieure : Ce type d’instabilité est beaucoup plus rare, correspondant environ à 5 % des cas. Les causes de cette instabilité sont plutôt en lien avec des accidents violents (accident de la voie publique, crise d’épilepsie voire électrisation. L’encoche osseuse dans l’humérus se situe en avant (encoche de Mc Laughlin). Les luxations postérieures vont entraîner des lésions ligamentaires et du bourrelet glénoïdien postérieur. Il peut s’y associer des lésions de passages de la partie postérieure de la tête humérale. L’instabilité peut survenir à la suite de différents facteurs : Traumatismes : Les traumatismes aigus peuvent provoquer des déchirures ligamentaires ou des lésions du bourrelet glénoïdal. Une première luxation traumatique augmente considérablement le risque de récurrence. Activités sportives intensives : Les sports sollicitant fortement l’épaule (tennis, natation, rugby) fragilisent l’articulation au fil du temps. Hyperlaxité ligamentaire : Cette condition génétique, présente chez certaines personnes, peut favoriser les instabilités articulaires. Déficit musculaire : Un déséquilibre musculaire, notamment une faiblesse des muscles de la coiffe des rotateurs, peut entraîner une perte de stabilité.
par Charles Bijon 24 janvier 2025
Le syndrome cubital, aussi appelé syndrome du canal cubital ou du nerf ulnaire au coude, est une pathologie causée par la compression ou l’irritation du nerf ulnaire à son passage au niveau du coude. Il s’agit du deuxième syndrome canalaire le plus fréquent après le syndrome du canal carpien. Comprendre ses causes, ses symptômes et ses traitements est essentiel pour une prise en charge adaptée.
par Charles Bijon 10 janvier 2025
La rhizarthrose est une forme d'arthrose qui affecte l'articulation trapézo-métacarpienne située à la base du pouce. Elle peut entraîner des douleurs importantes, une perte de mobilité et une diminution de la force de préhension. Dans les cas avancés où les traitements conservateurs ne sont plus efficaces, la pose d'une prothèse trapézo-métacarpienne constitue une solution chirurgicale.
par Charles Bijon 19 décembre 2024
L’ office surgery, ou chirurgie réalisée en cabinet, représente une avancée majeure dans la prise en charge de nombreuses pathologies. Cette méthode regroupe des interventions chirurgicales effectuées hors du cadre hospitalier traditionnel, dans des espaces spécialement aménagés et équipés pour répondre aux exigences médicales les plus strictes. Ces actes, souvent rapides et peu invasifs, offrent une alternative efficace et confortable pour les patients tout en garantissant des standards élevés de sécurité et de qualité des soins. L’office surgery s’impose comme une solution idéale pour traiter les affections de la main. Grâce à des équipements de pointe et des techniques modernes, cette approche allie rapidité, sécurité et confort, permettant une expérience patient nettement améliorée. Ce type d’environnement favorise non seulement une meilleure prise en charge mais réduit également l’impact psychologique et organisationnel lié à une hospitalisation classique.
par Charles Bijon 18 décembre 2024
Prévention des Plaies de Main pendant les Fêtes de Fin d’Année 🎄👐 Les fêtes de fin d’année sont une période festive, mais elles sont aussi marquées par une augmentation des accidents domestiques , notamment des blessures aux mains . Nous vous encourageons à redoubler de vigilance pour éviter ces blessures souvent évitables. Dans la paume de la main et les doigts, les artères, nerfs et tendons sont situés juste sous la surface de la peau. Ainsi, même une petite plaie peut entraîner des dommages graves avec des conséquences motrices ou sensitives importantes. Ce n’est pas la taille de la plaie qui détermine sa gravité, mais sa profondeur. Une blessure profonde peut atteindre un tendon ou une structure nerveuse sous-jacente, causant des séquelles durables. Par exemple, une rupture partielle d’un tendon peut passer inaperçue initialement, mais se compléter dans les jours suivants, rendant sa réparation bien plus complexe. En l'absence de prise en charge une infection, à type de phlegmon peut également se développer. Les principales causes de plaies pendant les fêtes : Ouverture des huîtres : Les couteaux à huîtres mal utilisés sont responsables de nombreuses blessures graves. Conseil : Utilisez un gant de protection ou un torchon épais pour maintenir les huîtres et manipulez le couteau avec précaution ou faites les ouvrir pour votre poissonnier. Feux d’artifice et pétards : Ces pratiques festives peuvent causer des brûlures ou des amputations partielles. Conseil : Respectez strictement les consignes de sécurité et ne manipulez jamais ces dispositifs si vous n’êtes pas formé. Objets tranchants et vaisselle cassée : La cuisine et les accidents de manipulation d’objets en verre sont des situations courantes. En cas de blessure : - Nettoyez immédiatement la plaie avec de l’eau et du savon. Appliquez une compresse propre et maintenez une légère pression pour arrêter le saignement. - Consultez rapidement notre centre si la blessure est profonde, si elle saigne abondamment ou si des corps étrangers (verre, métal, etc.) sont impliqués. Notre équipe spécialisée au Centre Chirurgical de la Main et de l'Epaule - Paris Ouest situé à La Garenne-Colombes est à votre disposition pour vous prendre en charge 7j/7 en cas d’accident même pendant les fêtes. Contactez-nous : 📍 Adresse : Hôpital privé La Montagne Lambert au 67, avenue Foch, 92250 à la Garenne Colombes 📞 Téléphone : 01 47 89 46 36 🌐 Site Web : www.ccmpo.fr Protégez vos mains et profitez pleinement des fêtes en toute sérénité ! Passez de merveilleuses fêtes de fin d’année ! 🎁✨
par Charles Bijon 6 décembre 2024
La maladie de Dupuytren est une pathologie fréquente de la main, marquée par un épaississement progressif du tissu sous-cutané de la paume, conduisant parfois à une rétraction des doigts. Bien que non douloureuse dans ses phases initiales, cette maladie peut altérer considérablement la fonction de la main. Découvrez les aspects génétiques et les facteurs de risque associés à cette pathologie, afin de mieux comprendre ses causes et ses mécanismes.
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Nous sommes ravis de vous annoncer l’ouverture de notre nouveau Centre Médico-Chirurgical Paris Wagram, situé dans le 17ᵉ arrondissement de Paris, et entièrement dédié à la pratique de l’ Office Surgery. L’ Office Surgery consiste à réaliser certains actes chirurgicaux en cabinet médical, sous anesthésie locale, chez des patients sélectionnés. Cette méthode, largement répandue à l’étranger, reste encore peu développée en France. Toutefois, elle s’inscrit dans une tendance actuelle visant à offrir des soins plus économiques tout en garantissant la sécurité des patients.
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